Des commissions de travail au Mouvement Démocrate !

Le week-end dernier avait lieu au siège du Mouvement Démocrate à Paris le premier grand rendez vous des commissions thématiques organisées par Corinne Lepage.
Différents groupes de travail sont en train de se mettre en place sur des sujets de société aussi variés que l’éducation, l’emploi, la culture, la vie en société, l’énergie ou les nouvelles technologies. Les objectifs de ces groupes sont multiples : créer un projet pour préparer au mieux les programmes de nos prochaines échéances électorales et mettre en place un réseau de veille pour aider nos représentants dans leur travail de communication et de réaction à l’actualité. C’est dans ce cadre que François Bayrou a demandé à chaque groupe de traiter de l’impact que pouvait avoir la crise économique actuelle sur chacun des sujets et commencer à réfléchir aux propositions que nous pourrions apporter à ce sujet.
Pour élargir les témoignages et les idées qui servent de base à ces réflexions chaque adhérent utilise son propre réseau de contacts et peut ainsi faire participer chaque citoyen à ces débats. Ce blog sera donc pour moi un outil important de contact et d’échange. N’hésitez donc pas à réagir !
Dans les originalités du MoDem, il est à noter que dans chaque thème sera abordé l’aspect de développement durable. Nous ferons également participer les français de l’étranger (ou bien sûr les étrangers vivant en France) pour avoir un œil extérieur et comparer nos idées à ce qui se fait chez nos voisins.
Voila le décor est planté, il ne reste plus qu’a travailler, facile…non ?

L’Irlande devra revoter pour le traité de Lisbonne !

Tout le monde est d’accord pour reconnaitre les difficultés de l’Europe aujourd’hui : Un parlement trop éloigné du terrain, des textes trop compliqués, la peur des pays de perdre leur identité… l’Union Européenne souffre d’une mauvaise image auprès des peuples qui la composent !
Mais, si les problèmes sont unanimement reconnus, c’est la solution pour sortir de la crise qui fait débat. A moins d’un an de l’élection de nos députés et au début de la présidence française qui s’annonce pleine de coups médiatiques (façon Sarkozy), nous sommes au premier plan pour suivre ce débat.
A l’image de l’Euro il y a quelques années, il manque aujourd’hui un grand projet européen convainquant. Dans le système actuel de présidence alternée : j’imagine mal un tel dossier développé en 6 mois de présidence. Ca n’est donc pas un président mais bien un maximum de pays qui doivent porter ce nouveau dessein européen : une politique extérieure commune, une lutte pour développer de nouvelles énergies ou un travail sur une agriculture et une alimentation intelligente et de proximité sont des pistes qui me semblent intéressantes si elles sont élaborées avec un maximum de nos partenaires européens.
Un grand travail de communication doit être mené pour faire connaitre nos instances européennes auprès de la population. Pour éviter la perte des identités de chaque pays il me parait important de faire participer les peuples à la construction de l’Union Européenne et de l’harmonie européenne. C’est pourquoi, je pense que le nouveau référendum irlandais est une solution dangereuse, qui risque finalement d’augmenter la fracture entre l’Europe et les Irlandais. Je ne pense pas qu’il suffise de leur faire cadeau d’un commissaire par pays dans le système de l’U.E. pour les faire à nouveau adhérer à la construction européenne. Je n’ose alors imaginer la situation dans laquelle nous nous trouverions, nous Européens convaincus, dans le cas ou le « non » l’emporterait à nouveau en Irlande…

Non cumul des mandats : Plus qu’une fracture générationnelle, une autre façon de voir l’implication politique !

Les élus peuvent cumuler des mandats de différentes manières : exercer simultanément plusieurs fonctions électives et effectuer à de nombreuses reprises un même mandat.
Le non cumul des mandats pourrait permettre à plus de politiques débutants, issus de la société civile, de concrétiser leur engagement à des postes décisionnels. Il donnerait l’opportunité à de nouveaux visages de se faire connaître, d’acquérir de l’expérience et de faire leurs preuves auprès de leurs électeurs. C’est pourquoi une telle règle développerait la diversité du paysage politique et donc la démocratie.
Mais, le non cumul, représente aussi bien plus : dans ma vision de la démocratie, cela indique une volonté de « déprofessionnalisation » des mandats électifs, lorsque le mandat le permet. Ce qui ne veut pas forcément dire avoir des élus moins compétents, mais des élus moins dépendants de leurs carrières politiques (et des indemnités associées), des élus qui pourront ainsi plus librement appliquer leurs convictions et leur valeurs pendant toute la durée de leur mandat sans craindre un mauvais impact sur une future élection.
Enfin, défendre le non cumul de mandat signifie aussi pour moi, permettre plus de transparence dans notre système démocratique. Nous élisons ainsi des candidats pour une fonction claire et précise sans chercher à savoir quel mandat sera privilégié dans son action par des élus cumulards.
Alors, pour plus de démocratie, non au cumul des mandats !

Les élections du Modem en france et en Haute Loire

Les journalistes et les politiques n’arrêtent pas de nous dire que la stratégie du MoDem n’est pas claire, avec parfois des accords avec le PS, parfois avec l’UMP et sans consigne nationale. Je m’en réjouis ! Je comprends le désarroi de ceux qui cherchent à nous classer comme ils en ont l’habitude, à droite ou à gauche (comme ils ont cherché à le faire croire lors des dernières élections nationales) car sur le plan national et même parfois localement, ils n’y parviennent pas. Le paysage politique français est doucement en train de changer : un mouvement démocrate prend sa place hors des deux clans politiques classiques.
C’est vrai, tant que les médias ont du mal à y croire, le seul moyen pour nous de faire passer le message, c’est sur le terrain ! Lors des campagnes électorales, ou en proposant une ligne de conduite claire pour nos candidats et surtout pour nos élus. Une ligne dictée par la liberté de vote et des projets qui défendent nos valeurs. Bien sûr, les débuts sont parfois difficiles. Lors de ces campagnes municipales et cantonales la conduite de nos candidats n’a pas été irréprochable partout. Certains ont sans doute préféré céder à un opportunisme facile, mais je pense qu’il s’agit là d’une minorité de cas. Il faut du temps pour créer ce nouveau mouvement et faire passer nos idées auprès des citoyens.
Sur la Haute Loire, l’indépendance politique est une tendance de fond (Il n’y avait qu’à regarder le nombre de candidats sans étiquette !) et l’ouverture aussi dans de nombreuses listes municipales. C’est la preuve que nos idées sont bien comprises par les altiligériens, elles étaient faciles à porter pour nos candidats. Nous présentions pour les cantonales des nouveaux visages qui ne disposaient pas de mandats électoraux. Même si nous avons la déception de ne pas avoir d'élu au Conseil Général, les résultats des campagnes menées sur les cantons d'Yssingeaux, de St Didier, du Puy-En-Velay Nord ou de Vorey sont plutôt bons. Ils nous placent, là où nous étions présents, comme une véritable force politique et ont permis de faire connaître nos projets et notre vision de la politique départementale. Ces campagnes ont donné l'occasion à certains de nos adhérents, comme moi, de s'exprimer et de s'implanter dans le paysage politique local.
Pour ce qui est des municipales, aucune liste ne portait sur le département les couleurs du Modem. Je regrette que le manque d'organisation et de notoriété dû à la jeunesse de notre mouvement ne nous ait pas permis de nous impliquer davantage dans les campagnes électorales des grandes villes. Mais je tiens à féliciter ceux de nos adhérents qui, dans une démarche individuelle, sont élus dans des conseils municipaux répartis dans une dizaine des communes de Haute Loire. Inclus le plus souvent au sein de listes de rassemblement, je sais qu'ils travailleront de leur mieux dans ces instances communales et intercommunales pour une gestion saine, une vraie politique de développement durable et en portant la plus grande attention aux attentes de leurs concitoyens.

Merci !

Tout le monde me le disait, l’élection d’un conseiller général est l’un des scrutins les plus difficiles. A la fois individuel (ou presque, aujourd’hui, avec une suppléante) et de proximité, couplé avec les élections municipales, il a aussi l’inconvénient d’être souvent placé au second plan. Dans ces conditions il s’agissait là d’un pari fou pour moi de me présenter pour la première fois aux suffrages des électeurs, d’autant plus sur un canton où le sortant était bien implanté et apprécié de beaucoup ! Pourtant, à toutes celles et ceux qui m’ont aidé dans cet engagement sur le canton comme le reste du département, le résultat n’est pas ridicule !
La démocratie était au cœur de ma campagne, les électeurs ont choisi dimanche de donner un nouveau mandat de conseiller général à Monsieur G. Convert dès le premier tour. Je le félicite pour cette réélection et le remercie ainsi que les autres candidats, Messieurs Durand et Valentin, pour avoir permis que cette campagne se passe dans de bonnes conditions de respect mutuel.
1325 électeurs ont apporté leur soutien à mon projet, répartis sur l’ensemble des communes d’Aiguilhe, de Chadrac, de Chaspinhac, de Malrevers, du Monteil, de Polignac et une partie du Puy en Velay. Je tiens à les remercier chaleureusement de m’avoir fait confiance! Après plusieurs mois de préparation et une présence constante près de vous ces trois dernières semaines, j’ai le sentiment que ce travail pour faire connaître la candidature que je représentais n’a pas été fait en vain. J’ai aimé les nouvelles rencontres, les discussions lors des réunions ou lors d’entretiens avec certains d’entre vous. Cela me donne la volonté d’élargir ces rencontres et de continuer à défendre mes idées sur le canton et sur le département pour développer avec vous le lien créé aujourd’hui.

Encore merci et à bientôt
Christophe Dequin

Le social : L'affaire du Conseil Général et des associations

Le Secours Catholique a envoyé un courrier aux différents candidats pour les prochaines élections cantonales, nous demandant de nous engager publiquement sur 4 problématiques qu’il leur a semblé important d’aborder dans notre département.
Je vais donc partager aujourd’hui avec vous mon analyse sur ces différents thèmes de l’action sociale :
L’emploi et l’insertion :
Je pense que l’insertion est un très bon exemple où développer le travail en collaboration entre les associations du secteur, les partenaires publics, les entreprises, les centres de formations… cela, pour entretenir un dialogue continu entre ces structures (depuis le travail de réflexion jusqu’au suivi des résultats des mesures) et pour optimiser la tâche de chacun.
La formation est un aspect primordial dans l’insertion professionnelle. Dans ce domaine, je souhaite plus d’adaptation entre les formations proposées localement et les emplois possibles sur le département.
Tout le monde a besoin de vacances :
Les activités culturelles et sportives coûtent cher et sont un élément important d’insertion sociale (notamment pour les enfants). Toutes les actions proposées par les associations, les municipalités ou le département… pour permettre un meilleur accès à la culture et au sport aux personnes en difficulté sociale me semblent à encourager. C’est un aspect que je souhaite garder à l’esprit dans la politique culturelle et sociale du Conseil Général.
Dans le même esprit, les bienfaits des vacances en famille me semblent, là aussi, importants sur le plan social. L’action doit être un axe de réflexion à développer.
L’hébergement d’urgence :
Comme pour l’insertion c’est un dossier à traiter en collaboration et jusqu'à obtention d’une solution durable. Je souhaite un vrai travail de prévention sur ce sujet dans la lutte contre l’exclusion. Nous auront besoin de la bonne volonté de tous et des remarques et idées de chacun pour obtenir des résultats en la matière.
La problématique des transports :
Cette problématique touche beaucoup de domaines : les transports scolaires, l’écologie, l’aménagement du territoire, la voirie ou le confort de vie. Elle concerne les personnes en situation de précarité, les personnes dépendantes, mais aussi toutes les autres. Les communes, l’agglomération, le département, la région et l’état doivent y travailler. Ça veux dire qu’il y a beaucoup de paramètres à prendre en compte sur le sujet et l’accessibilité des transports à tous est l’un d’eux (pour des raisons financières comme des raisons d’accès aux personnes dépendantes).
Oui à un accès pour tous au transport scolaire le mieux adapté au lieu d’habitation.
Pour moi, la campagne ou le milieu urbain ont une problématique des transports bien différente et il me semble impossible d’appliquer des critères de service identiques sur tout le département.

Marie Françoise Merle : Candidate suppléante

Mariée, 2 enfants, je vis en Haute-Loire depuis 8 ans.

Après avoir été chef d’entreprise, j’ai décidé de me consacrer à la vie familiale et j’exerce à présent mon métier d’opticienne audioprothésiste à temps partiel.

Lors des Présidentielles, les valeurs libérales, morales et sociales démocrates portées par le projet de François BAYROU m’ont conquises. Pour la première fois un homme politique me donnait l’envie de le suivre, j’ai donc rejoins l’UDF puis la liberté du Mouvement Démocrate (MODEM).

J’ai accepté de soutenir Christophe DEQUIN car il porte ces valeurs humanistes, c’est un homme de terrain et proche de ses concitoyens.

La Haute-Loire doit rester fidèle à ses traditions qui en ont fait un territoire où il fait bon vivre, mais elle doit également se tourner vers l’avenir tant sur le plan environnemental qu’économique. Pour se faire notre Département a besoin d’élus libres, capables de porter des projets parce qu’ils sont justes et non parce qu’ils ont une étiquette politique.

En quoi la politique que je souhaite mener est-elle différente ?

• J’ai rejoint il y a quelques années les idées de François Bayrou à l’UDF quand il commençait à proposer une alternative à l’opposition systématique gauche/droite. Aujourd’hui je souhaite mettre en pratique cette règle en devenant un élu libre de voter en conscience pour vous représenter au mieux.
• Je ne suis pas lié à une commune en particulier, je serai ainsi le conseiller de toutes les communes du canton.
• Je n’ai pas aujourd’hui de mandat, les projets que je souhaite porter sont le fruit de mon expérience de terrain et des réflexions avec d’autres représentants de la société civile.
• Nouveau visage de la politique locale, je n’envisage pas de faire de la politique mon métier. Je ne chercherai donc pas à cumuler les mandats et autres fonctions à indemnités pour en vivre. Je pense de plus qu’après quelques années dans un mandat, un élu doit penser à laisser sa place à une autre vision de la fonction et ce, quelque soit la réussite de ses actions, pour le bon équilibre du territoire. C’est pourquoi je m’engage à ne pas solliciter plus de deux mandats successifs dans cette fonction.
• Je désire être votre représentant au conseil général ! Pour cela il me semble indispensable de créer un lien de dialogue avec vous, pour connaître vos opinions et vos besoins, et pour vous informer régulièrement des actions du conseil général. C’est pourquoi je vous proposerai des rencontres régulières d’information et de réflexion.

Ensemble : Un autre choix est possible !

Je m’appelle Christophe Dequin, j’ai 33 ans. J’ai le plaisir de vous annoncer aujourd’hui ma candidature aux prochaines élections cantonales pour le canton de Polignac, Chadrac, Aiguilhe, Le Monteil, Malrevers, Chaspinhac et Le Puy nord.
Je choisis de m’engager pour vous défendre, dans le respect des valeurs auxquelles je crois. Je partage mon temps entre mon travail dans une usine de chimie et du bénévolat dans des associations culturelles ou caritatives. C’est grâce à cette expérience de terrain que je me suis fixé des règles de vie que je compte aussi mettre en pratique sur le plan politique :
L’importance du dialogue : je serai attentif dans l’enceinte du conseil général, pour un débat démocratique sans contrainte de stratégie politique ni opposition systématique à l’un ou l’autre des deux principaux clans politiques. Gouvernons enfin à long terme !
Une gestion économique sans gaspillage : je m’attacherai à réduire les endettements de nos institutions pour ne pas peser sur les générations à venir.
Nous devons conserver, voire améliorer notre qualité de vie en Haute Loire : une politique de développement durable, pour une gestion écologique réfléchie, est indispensable dès à présent.
La société doit être au service de l’être humain : le respect de l’homme et de la femme doit être présent dans toutes nos actions pour la société !
Militant UDF il y a encore quelques mois, j’ai choisi de rester fidèle aux idées portées par François Bayrou et Corinne Lepage. Pour défendre la démocratie, je m’investis aux côtés des nombreux adhérents venus nous rejoindre au Mouvement Démocrate pour une meilleure participation des acteurs de la société civile dans la gestion de nos collectivités. Avec vous, une nouvelle vision de la politique est possible ! N’hésitez pas à me contacter :

Ils ont rejoint le Mouvement Démocrate, pourquoi pas vous ?

Voici quelques parcours d’adhérents du Modem de Haute Loire. Qu’ils viennent de l’UDF, de CAP21, d’autres formations politiques ou simplement de la société civile, ils ont souhaité participer à la création de cette nouvelle force politique démocratique.
Tous ont en commun des valeurs et une certaine vision de l’éthique en politique. En rejoignant ce mouvement ils ont accepté les chartes des valeurs et du comportement qui font la force de notre mouvement.

Charte des valeurs

Charte du comportement

Avec les prochaines échéances électorales qui s’annoncent en mars prochain, nous avons besoin de réunir tous les hommes et femmes qui se reconnaissent dans ces chartes et qui ont la volonté de construire avec nous des projets qui nous ressemblent en Haute Loire. La démocratie c’est la participation de chaque citoyen à la société qui les entoure. N’hésitez donc pas à nous contacter ou à consulter le site :

http://www.modem43.net/

Pierre Héno

60 ans, marié, trois enfants, quatre petits enfants
retraité de l’enseignement
Saint-Ilpize

J’ai toujours eu envie de m’occuper des autres et je l’ai réalisé dans mon métier (instituteur puis directeur d’école) ou dans le milieu associatif (successivement président de club sportif, secrétaire d’association de handicapés mentaux, secrétaire de comité des fêtes).
Jamais engagé en politique, mais soucieux de porter la parole de ceux qui ont du mal à se défendre, j’ai été séduit par la volonté de François Bayrou de faire de la politique autrement, de dépasser le clivage gauche/droite.
Je me suis engagé dans le Mouvement démocrate pour défendre la démocratie, l’humanisme, le pluralisme, pour aider les citoyens à être acteurs. Je partage aussi la volonté d’honnêteté, de sincérité et de transparence.

Anne-Audrey Perrin-Patural

32 ans, Mariée, 4 enfants
Agent Territorial
Monistrol sur Loire

Depuis une quinzaine d’année, je m’investis dans le milieu associatif, mon travail au sein d’une collectivité et ma vie de famille. Le lien de toutes ces activités est mon engouement pour la vie politique. Au-delà du clivage gauche-droite, j’ai toujours trouvé auprès des démocrates cette envie de faire de la politique autrement, cette volonté de faire bouger et de décider nous même de notre avenir.
C’est autour de la table des démocrates, parce que nous avons la parole, que nous déciderons demain de ce que nous voulons pour nos enfants.
François Bayrou nous propose : rassemblement, renouvellement, refondation démocratique : faire vivre, penser et travailler ensemble des femmes et des hommes venus d’horizons différents. Etre démocrate c’est avoir et donner la parole.