mercredi 2 janvier 2008

2007 La prise de conscience écologique




Cette période des fêtes de fin d’année est pour beaucoup l’occasion de nous faire un bilan des événements sportif, people ou encore politique de 2007. Je vais donc moi aussi en profiter pour faire un petit point en quelques notes :
Commençons par une bonne nouvelle. En 2007 a eu lieu une prise de conscience générale : Il y a urgence à intervenir pour le changement climatique ! Al Gore, Prix Nobel de la paix, Nicolas Hulot et son pacte Ecologique, ou encore notre ancien président Jacques Chirac et sa fondation pour le développement durable et le dialogue des cultures. Beaucoup de personnalités ont marqué l’année sur ce sujet. Le Grenelle de l’environnement qui à la sortie semble avoir satisfait tous les différents participants est aussi une bonne nouvelle en matière de développement durable. Même dans mon mouvement politique, l’UDF de Bayrou qui n’était pas à la pointe dans ce secteur a été rejointe par Corinne Lepage et CAP21 qui apporte son expertise dans le domaine au MoDem.
Toutefois je ne voudrais pas que cette prise de conscience soit comme les bonnes résolutions de début d’année qu’on renouvelle tous les ans car on ne parvient pas à les mettre en pratique longtemps. C’est pourquoi je souhaiterais pour 2008 que ces résolutions se traduisent enfin en actes concrets. C’est pourquoi le travail des associations, les élus et autres acteurs du développement durable doivent à tout prix accentuer encore leur travail en la matière, qui commence si bien à porter ses fruits.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Ah l'écologie, quel sujet! J'avoue être sceptique quant aux convictions de chacun... En effet, la plupart des soit disants écologistes naviguent, j'en suis convaincu, entre la volonté louable de vouloir (utopiquement) "sauver" la planète, et celle (excecrable) de ne penser qu'à interdire ce qui ne leur plait pas... Parmi les premiers, se pose en "chef de file" l'exploitant de l'écologie qui pense tout d'abord aux profits qu'il va générer en développant "l'éconologie". Les autres travaillent d'arrache pied sur l'amélioration de leur confort par le biais de "l'escrologie", technique peu recherchée qui consiste à vouloir classer comme non écologique tout ce qu'ils considèrent comme une nuisance... Bref, les deux courants évoqués ci-dessus n'ont souvent d'écologique que leurs discours, et cumulent les paradoxes. Je constate que si l'écologie a toujours été une étiquette, elle est devenue ces derniers temps un gros panneau en 4X3, condition sine qua none de la respectabilité! Nul besoin d'être écologique, il suffit de porter ce panneau en plein milieu du front et de se poser en donneur de leçon! Meilleurs voeux écologiques... aux vrais écolos qui, dans l'ombre de ceux-là, ont choisi un mode de vie plutôt qu'un mode de promotion. Allez, sur ce, je m'en vais reprendre ma vie pas très écolo, bonne année 2008 à tous.